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Seize ans que le réchauffement climatique est en panne

C’est ce qu’annonce, pas trop fort, le MET office.

Toute la théorie actuelle du réchauffement climatique a été appuyée par les données de la période 1980-1996, seize années donc, durant lesquelles la température moyenne avait augmenté.

Maintenant que l’on a les données pour les seize années suivantes, 1996-2012, et que ces données montrent clairement qu’il n’y a pas de réchauffement, est-ce qu’on va enfin nous laisser tranquille avec toutes ces âneries sur la lutte contre le réchauffement ?

Normal. Mélange des genres

Entre le mari de Ben Kacem nommé Conseiller de Montebourg … Celui de Fleur Pellerin nommé Conseiller de Lebranchu … La femme de Bartelone nommée au cabinet du son Mari … Pigasse Homme de Presse et ex/Conseiller de DSK et Fabius puis maintenant de Moscovici et dont la Banque vient d’etre choisie par Hollande/ Ayrault alors qu’il est Actionnaire du Monde, Médiapart, rue 89, Hoffington post (où travaille Claire Strouss-Kahn) et maintenant Le fils de la vice-présidente du Sénat pour l’Epad avec la complicité de Duflot (encore elle) + J.Vincent Placé!!!! sans oublier la copine d’Hollande qui se sert de l’Elysée comme bureau de poste pour recevoir des bouquins (pour son boulot à P.Match) et qui se sert de son CHEF de CABINET pour faire son courrier destiné à son boulot de Journaliste… QUEL BEAU MÉLANGE DES GENRES Trouve la http://www.contrepoints.org/2012/09/27/98523-jean-sarkozy-epad-amin-hiari

Soir3 déprimant

Le Soir3 de ce soir était franchement déprimant.

D’abord sur la convention démocrate, ou le journaliste commentateur annonce fièrement que le candidat Obama a quand même a son actif une action exceptionnelle. Il a donné à 40 millions d’américains une couverture sociale. C’est le donné qui m’embête beaucoup ici. Personnellement, il n’a rien donné, de sa poche je veux dire.

Ensuite, il y a eu ce passage de notre président normal. Il bredouille. Cherche ses mots. Et il parle du stock de demandeurs d’emploi qu’il a reçu. Les personnes concernées apprécieront.

Passage ensuite par les élections au Québec. La présentatrice dépitée annonce le choix entre les libéraux sortants, les indépendantistes, et des populistes de droite (forcément). Quoi pas de socialistes !

Et enfin, ce reportage en Chine sur le prince rouge qui s’est tué au volant de sa Ferrari. Après une interview d’une chinoise (j’aimerais bien avoir la vraie traduction de ce qu’elle a dit), le reportage se termine sur ces mots : "ce pays dans lequel les inégalites s’accoissent." Mais ils ne voient pas qu’un demi milliard de chinois son sortis de la pauvreté ! Il ne veulent pas voir que ce n’est ni le communisme, ni le socialisme, ni n’importe quel étatisme qui les a sortis de la misère. C’est si important que ça que quelques uns soient très riches si une très grande majorité améliorent leur sort ?

Livre papier …

Incroyable d’entendre ça à la télé ce soir. Dans un best-of de l’émission de Ruquier (je sais, je sais, c’est pas en regardant ça que l’on va devenir intelligent), Frédéric Beigbeder qui défend le livre papier contre le livre électronique.

Mais tout son argumentaire repose sur la défense du roman, du contenu. Or le contenu, qu’il soit sur papier ou dans une liseuse ou une tablette ne change pas. Quelle avancée cela pourrait être, rien que pour les collégiens ou les lycéens, au niveau du poids du cartable : une seule liseuse de cent grammes au lieu de deux kilos de livres en papier pour exactement le même usage.

C’est quand même incroyable cette faculté en France de défendre l’ancien contre le futur, de défendre le vieillot contre le nouveau, de défendre l’acquis contre l’évolution.

Alors que cette même semaine un des vingt heures proposait une séquence dans son journal, montrant que le New York Times vendait plus d’abonnements à sa version électronique qu’à sa version papier !

Quel anachronisme. Quel refus du progrès !

La nouvelle primaire socialiste avant le deuxième tour

J’ai trouvé un article qui explique bien ce que je crois depuis quelques semaines : Sarkozy sera réélu.

Non pas que je le souhaite, car sincèrement entre un socialiste de gauche et un socialiste de droite, je ne vois aucune différence. Juste que cela me ferait bien marrer dimanche soir de voir les têtes dépitées de tous les gauchos et de tous les journaleux.

Car oui, Sarkozy est socialiste. Honteux, certes, mais socialiste. En 5 ans, la part de l’État dans l’économie est passée de 52% à 56%. Malgré ses discours, malgré les plaintes de ses adversaires qui qualifient sa politique d’ultra-libérale, ses actes parlent : la France aujourd’hui est encore plus socialiste qu’il y a cinq ans ! Il n’y a qu’à voir ses propositions de TVA sociale, une idée socialiste au départ, et de Taxe (tiens, encore une) sur les transactions financières, une idée d’ATTAC : franchement non merci !

Il y a même au fond de moi une petite voix qui me dit que si Hollande passait, alors l’agonie pour la France serait moins longue : on arriverait plus vite au bout de ce socialisme qui n’a jamais marché, où que ce soit, dans aucun pays. Mais ce qui me freine, c’est qu’avant d’en finir, le socialisme a toujours mené les populations vers la misère, la répression et le totalitarisme, en fabriquant des prisons à l’échelle des pays.

Je refuse de cautionner le socialisme. Entre un socialiste de gauche et un socialiste de droite, ce sera comme au premier tour : l’abstention.

Réponse sur le site du Figaro

L’article traitait des Pays-Bas et de leur nouveau plan d’austérité.

Au commentaire suivant : A leur tour de basculer dans la récession. Les politiques libérales n’ont qu’un seul objectif : détruire les Etats. Et c’est ce qui se passera en France si Sarko repasse. La BCE a versé 1000 milliards dans le puits sans fond des banques et cet argent n’a servi à rien!!! Ils viennent ensuite nous expliquer que les salariés doivent se serrer la ceinture car il n’y a pas d’argent! Le casse du siècle.

J’ai répondu :

Mais il n’y a plus de politique libérale en France. En 5 ans, la part de l’État dans l’économie est passée de 52% à 56% ! Ce sont les chiffres officiels INSEE et OCDE. Malgré les discours, malgré les apparences, l’État grossit.

La France est encore plus socialiste qu’il y a cinq ans ! Oui, Sarkozy est un socialiste de droite. Il n’est alors pas difficile de comprendre que ce socialisme (même de droite) mènera l’État à la faillite. Partout où il a été appliqué, le socialisme n’a jamais réussi, sinon à appauvrir les populations. Le socialisme nous mènera tous à la misère. Qu’il soit appliqué par Hollande ou Sarkozy.

Le puits sans fond, c’est la dette des États, créée par les politiciens qui à force de mesures clientélistes et de distributions de privilèges dépensent sans compter notre argent (les taxes et impôts) plus de l’argent qu’ils n’ont pas (les emprunts) dans le seul but de se faire réélire. Et au final, c’est nous qui paierons.

Les 1000 milliards versés aux banques ont servi à acheter les emprunts des États européens. C’est pourquoi l’Italie et l’Espagne ont réussi à placer leurs dettes il y a quelques semaines. Mais les taux remontent déjà. Ces 1000 milliards n’ont été qu’une bouffée d’air pour les États et leur permettre de tenir encore quelque temps, quelques mois, ou quelques semaines …

Y’en a marre de Sarkozy !

Y’en a marre de Sarkozy. Je ne veux plus de lui comme président.

En cinq ans, il a fait passer la part de l’État dans l’économie de 52% a 56% *. Notre pays, la France, est encore plus socialiste qu’il y a cinq ans. Pour un président de droite, c’est assez remarquable : Sarkozy, le président socialiste de droite !

Le XXe siècle nous a démontré que le socialisme ne menait les peuples que vers la misère et la servitude : Russie, Chine, Cuba, Corée du Nord … L’Allemagne aussi est un exemple flagrant qui permet de comparer objectivement la différence obtenue entre l’Est et l’Ouest apres 40 ans de socialisme.

Au XXIe siècle aussi, le résultat est le même. Les vénézueliens s’enfoncent dans la pauvreté. Un petit rappel encore : Ben Ali, Kaddafi et Moubarak faisaient tous partie de l’Internationale Socialiste.

Comme TOUS les candidats veulent que l’État fasse plus de ci, plus de ça. Que l’État s’occupe encore d’autres choses, régule ceci, ou cela. TOUS veulent encore plus de socialisme.

Ce n’est pas ce que je veux. Ce n’est pas ce que je souhaite pour la France. Ce n’est pas ce que j’espère pour mes enfants.

Je ne cautionnerai aucun de ces prétendants avec mon suffrage.

Je ne voterai pas blanc non plus, le vote blanc n’étant pas comptabilise sinon avec les bulletins nuls.

Pour dimanche, ce sera l’abstention.

  • : chiffres INSEE et OCDE.

Les devoirs à la maison diminuent les inégalités.

La FCPE nous ressort en ce moment cette vieille histoire de devoirs à la maison.

Commençons tout de suite par cet argument idiot de « sous-traitance pédagogique » aux familles. Les familles se rendent-elles compte de la sous-traitance éducative qu’elles laissent aux enseignants ? Ce n’est pas aux enseignants d’apprendre aux enfants à dire boujour, merci, au revoir. Ce n’est pas aux enseignants d’apprendre aux enfants à se tenir correctement, à respecter les autres. Toute cette éducation devrait être faite par les familles. Et je pense que les enseignants seraient prêts à échanger devoirs contre éducation.

Ce qui m’ennuie au plus haut point, c’est le tout début : Nous dénonçons depuis longtemps la persistance des devoirs à la maison … qui ne font qu’accentuer les inégalités entre les enfants selon qu’ils peuvent ou non bénéficier d’aide à la maison. De but en blanc comme ça, sans aucune réflexion, sans aucun argument, la FCPE assène que les devoir accentuent les inégalités. Ah bon ?

Je suis persuadé du contraire. Et je m’explique. Dans une famille favorisée, les parents pourront apporter l’aide dont les enfants pourraient avoir besoin. (C’est ce point précis qui fait dire à la FCPE que les devoirs accentuent les inégalités.) Mais cette famille favorisée connaît aussi la valeur de l’éducation, de l’instruction. Dans le cas où il n’y aurait pas de devoirs à la maison, les parents se feraient fort d’apporter à leurs enfants une nourriture intellectuelle apte à les stimuler et à les satisfaire. Les devoirs peuvent être un agréable moment de convivialité et de complicité à partager au sein de la famille. Mais même sans devoirs, les enfants seraient sollicités, sans forcément ce cadre formel des devoirs, pour apprendre.

À l’opposé dans une famille où les parents sont peu enclins à l’instruction, les devoirs sont vus comme une corvée. En effet, les parents ont peut-être eux-même un mauvais vécu ou une mauvaise image de l’école (qu’ils instillent insidieusement -ou pas- à leurs enfants). Et que se passerait-il s’il n’y avait pas de devoirs à la maison ? Dans cette famille défavorisée, aucun devoir à la maison signifie simplement aucune nouvelle sollicitation intellectuelle hors de l’école. Les enfants pourraient s’occuper à regarder la télé, ou s’amuser avec des jeux vidéo. Les devoirs sont cette seule chance qu’ils ont de pouvoir répéter les apprentissages de l’école. Ces répétitions sont absolument nécessaires pour les apprentissages.

Sans les devoirs, les enfants des familles défavorisées subiraient encore plus les inégalités.

Assurance maladie privée

C’est quand même incroyable comme la plupart des gens ne savent pas ce que leur coûte leur assurance maladie.

J’ai la chance de travailler en Suisse. Les salaires sont plus intéressants que les salaires français, mais ce n’est pas tout. En tant que travailleur frontalier, il est aussi possible de choisir sa couverture maladie auprès d’un assureur privé. Et c’est bien là un autre avantage que le salaire.

Lors de toute discussion avec une personne qui aimerait bien aller travailler en Suisse, pour profiter d’un meilleur salaire, la question de l’assurance maladie intervient très vite. Il faut alors donner un ordre de grandeur de la somme qu’il faut payer chaque mois pour souscrire une telle assurance. Je donne comme chiffre environ 200 euros par mois. Et c’est là que la personne ouvre de grands yeux et trouve ce prix exorbitant. À ce prix pourtant, les prestations sont très correctes, et correspondent aux prestations en France de la sécu plus une bonne mutuelle, à 150 % du tarif conventionné (avec en plus la possibilité de se faire soigner en Suisse où les tarifs sont d’un autre ordre de grandeur soit dit en passant).

C’est quand même incroyable cette incrédulité. 200 euros, ce n’est pas grand chose pour une assurance maladie. Combien payent-ils en France ? Ils ne le savent même pas ! Le calcul est pourtant simple : pour un salaire au SMIC, entre ce que le patron débourse et ce que touche l’employé (1053 euros nets) 285 euros partent pour l’assurance maladie de la Sécurité Sociale. Oui, deux cent quatre vingt cinq euros chaque mois pour une assurance maladie qui rembourse à hauteur de 65 %, moins un euro sur la visite chez le médecin, et qui aussi rembourse royalement 2 euros 54 sur une paire de lunettes !

Mais non, même un tel argument pourtant clair et précis n’est pas pris au sérieux : "C’est pas possible." Mais c’est pourtant vrai. Et vérifiable.

Imaginez à partir de là que le SMICard ait le droit de choisir lui aussi une assurance privée. Son patron ne débourserait pas un centime de plus, et notre SMICard aurait immédiatement une augmentation de presque 100 euros ! Voilà comment redonner du pouvoir d’achat aux français … Mais pour ça, il faudrait laisser le libre choix de l’assurance maladie, et ne plus obliger à cotiser à cette sinistre et inefficace Sécurité Sociale.

On vous a menti. Votre Sécurité Sociale que le monde entier vous envie, qui coûte très cher pour pas grand chose, eh bien je préfère vous la laisser.